24 m² en quête de biodiversité
Des laiterons, un pied de Toumaï et un aperçu de la désertification du sol alors qu'on est qu'au mois de mai, et que j'arrose régulièrement (une régul' de 500€ cette année là...).
Je ne composte pas, je mets tous mes déchets organiques et verts à même le sol dénudé (appellé le "Le compostage de surface") pour forcer la faune environnante à y aller faire son boulot et ainsi l'aider à recoloniser toute la terre morte.
C'est pourquoi on peut voir un peu de marc de café, ici et là, et des graines que je parsème pour les oiseaux.
Concernant ceux-là, je n'ai réussi qu'à attirer 3 pies et une bergeronnette jusque-là.
La vue d'ensemble du jardin quand on se tient à la porte d'entrée de la maison.
Dans le fond, ce sont des croutons de pains, et on remarque que la grosse salade (cardère sauvage) commence à monter en graines Smiley : ;)

Dans la globalité, le jardin est bien plus vert et commence même à se nuancer ! Smiley : :)
Des géranium à feuilles rondes qui poussent parmis ce trèfle nain, avec ses points au centre de ses feuilles, que je pense être de la luzerne d'Arabie.
Une magnifique fleur blanche, que j'ai longtemps cru être une stellaire holostée, mais qui s'avère être un compagnon blanc.
C'est un pied unique qui fait de longues tiges nues au sol (stolons), qui se ramifient pour faire des "grappes" de fleurs.
Un petit chêne a fait son apparition près du gros trèfle à 4 feuilles (il est juste derrère le chêne et la plus grosse feuille d'arum). J'adore les chênes, du coup je prévois de le laisser pousser jusqu'à ce qu'il devienne suffisamment robuste afin de le transplanter ailleurs (chez ma môman certainement).
Et comme il pousse à côté du trèfle, je suis sûre que ça lui portera chance !
2016/05