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Certains de mes pieds atteignent 1m50.

Plante bio-indicatrice : Aquaphile - Source 1

Les graines de chardons font partie de l'alimentation principale d'un oiseau du même nom: le chardonneret. - Source 1

Ils réparent les sols malades d’engorgement (ce sont des plantes nitrophiles), en allant puiser le phosphore en profondeur. - Source : Jérôme Bouillon sur Facebook

le Compagnon blanc préfère la vie nocturne: ce sont essentiellement les papillons de nuit qui assurent sa pollinisation, attirés par le parfum et le nectar que la Sauvage produit en plus grande quantité la nuit tombée. - Source 2

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Plante bio-indicatrice : inhibitrice de croissance - Source 3

Adoucissante, émolliente - À sourcer !

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Plante bio-indicatrice : Nitritophile. - Source 1

Plante fourragère
Plante bio-indicatrice : Fixatrice d'azote - Source 1 --> La plante possède une relation symbiotique avec la bactérie "Sinorhizobium medicae", qui est capable de fixer l'azote (nitrogen)

Astringeante

Toxique pour les bovins et ovins. - source 3

Le millepertuis ou herbe de la saint Jean permet d'obtenir en teinture des tons jaunes cuivrés, beiges ou bruns selon l'origine géographique de la plante.

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Renseigner

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Il n’existe pas d’effets secondaires liés au plantain qu’il soit pris seul ou avec un médicament. Toutefois, par prudence, on le déconseille aux femmes enceintes car il pourrait avoir un effet stimulant sur l’utérus. Seul effet indésirable, à haute dose, le plantain peut être un laxatif mal contrôlé. - Source 3

Peut servir de fourrage aux tortues terrestres - J'ai perdu la source x'D
Toxique pour les moutons - Source 3

Ecologie et utilité des ronces :
une nouvelle vision du monde, réelle et sans dualité.
La ronce commune (Rubus fruticosus) et la ronce à feuilles d'orme (Rubus ulmifolius) sont des Rosaceae ligneuses rampantes et épineuses. Vivaces par leurs tiges souterraines, elles produisent chaque année de nouvelles tiges aériennes sarmenteuses qui fructifient la deuxième année avant de mourir. La plante forme des tiges d'abord dressées puis arquées capables d'atteindre plusieurs mètres de long et dont l'extrémité, au contact du sol, s'enracine par marcottage. De nouvelles tiges seront alors émises, qui coloniseront rapidement le terrain pour former d'impénétrables fourrés: les ronciers! Ces espèces polymorphes, pouvant s'hybrider avec d'autres espèces proches, trouvent leur biotope dans les clairières, les fruticées et les lisières forestières des plaines comme des montagnes.
Bien des animaux, dont l'homme, sont amateurs des mûres, riches en antioxydants, minéraux, vitamines... Les jeunes pousses sont comestibles crues ou cuites. La ronce, mellifère, est d'importance pour les insectes et l'hôte de chenilles de plusieurs espèces de papillons. C'est aussi une nourriture appréciée des chevreuils et des muscardins, de petits rongeurs roux inféodés à ces plantes et dans lesquelles leurs nids sont construits.
La végétation exubérante des ronces offre aux graines d'autres espèces (chênes, érable champêtre...) la possibilité de germer à l'abri des intempéries et de la prédation. Refuge de la faune, berceau de la flore forestière, les ronces présentent donc bien mille intérêts écologiques.
Pourtant souvent vue d'un mauvais œil, assimilée à l'hôte indésirable d'un terrain sans entretien, symbole dans l'imaginaire collectif d'un certain laisser aller que tout un chacun se devrait de contrer, la ronce est forcément tout autre chose: parée pour conquérir des lieux herbacées et les transformer en stade pré-forestier, elle est à la fois la préparatrice et la pépinière de la forêt à venir.
Dans un regard duel, elle représente encore et toujours l'ennemie de cette idée de l'agriculture que l'on se fait depuis le Néolithique. Alors que comprise, acceptée et maniée avec un regard neuf, elle est l'aide parfaite pour transformer une prairie rase en jardin-forêt, pour compartimenter et protéger les plantations de la dents des ongulés. Taillée, broyée, débroussaillée pour juste la dompter, elle devint alors source illimitée de mulch, de paillis. Ainsi, plutôt que de lutter et de détruire, de s'épuiser en une guerre sans merci, une solution: intégrer les ronces (du moins si la taille du terrain s'y prête) dans le plan et les pratiques holistiques du terrain, en les voyant dès lors comme des amies. Une fois la canopée et le sous étage formés, une fois le jardin-forêt déployé, les ronces régresseront voire disparaitront, ayant remplies leur admirable mission: la transformation d'un espace dénudée en un havre biologique étagé.
NB: parce que rien n'est complétement simple: restez tout de même méfiant quant à la taille des ronces, car d'épais corridors de cette plante feront aussi la joie des muscardins qui, expérience faite, apprécient l'écorce tendre des jeunes Rosaceae arborescentes (pommiers...) et qui peuvent léser des arbres depuis leurs nids de ronces, discrètement mais surement, loin du regard du jardinier!
- Source 1
Une bonne vidéo sur le sujet.

R.A.S.

Fourrage - Source 1

La plante est allergisante lors de contacts répétés avec le bulbe ou les parties fraîchement coupées. -> Source 1

Plante bio-indicatrice : Carence d'azote - Source 1

Elle constitue un excellent fourage. - Source 1

La vesce a pour caractéristique de pousser sur tous les types de sol, excepté les sols mal drainés. Elle est également appréciée pour sa capacité à fixer l'azote de l'air sur ses racines. - Source 2

En attente de fin de floraison afin de mieux observer fleurs et fruits.

Note : Tient mal le vent d'Autan... Mais se bat !